mardi 31 mars 2009

Le roman d'Oxford - Javier Marias




Désolée, à mon tour je "jette l'éponge", impossible de me plonger dans ce livre et ce, à cause de l'écriture : des phrases longues, longues... et construites de telle façon que je n'accroche absolument pas...
Merci à Lune De Pluie de l'avoir fait voyager, il part à présent chez Hathaway.

10 commentaires:

  1. Décidement il pique ma curiosité celui-ci !

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  2. Pfff, ça me fait de la peine pour Lune, personne n'accroche pour le moment. En ce qui me concerne, ce n'est pas l'écriture qui m'a gênée mais le fond, ce qui était raconté ne m'intéressait pas, tout simplement...

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  3. Ben c'est pô possible, s'il a plu à Lune, il va bien plaire à d'autres...

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  4. En tout cas, il pique ma curiosité

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  5. @ Emmyne et Chimère, votre tour viendra ;-)
    @ Bladelor, en tous les cas, nous n'avons pas buté sur les mêmes écueils
    @ Ys, sans nul doute ! bien heureusement, tous les goûts sont dans la nature...

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  6. Moi j'aime déjà le titre alors peut etre que...
    (Vite vite il faut que je finisse Irène Frain pour me plonger dans la lecture de ce livre dès reception !)

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  7. J'aimerais bien l'aimer par solidarité pour Lune, car mon petit chouchou a tendance à se faire abandonner aussi, alors je compatis... Mais enfin, on verra bien, pas question de se forcer au-delà de la page 50 ! Tu as bien fait donc...

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  8. Javier marias.

    Comment peut on être déçu ?

    Comment peut on ignorer ?

    Bolano, Marias, Villa Matas, Borges, Pynchon, Amis, Glass, DeLillo, Roth... Depêchons nous... Ces grands auteurs seront peut -être victime d'ostrascisme dans les années à venir.

    Pour comprendre l'oeuvre de Marias, il faut mettre l'écrivain en perspective.

    Le roman est un véhicule ici. Ni une fin en soi ni une histoire.

    Ne vous découragez pas.

    Stef

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  9. @ Stef, il ne s'agit pas "d'ignorer", juste impossible pour moi d'accrocher à ce livre (et je ne suis pas la seule dans la chaîne !). Cela n'enlève rien à sa qualité, bien évidemment.

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