
Cette année le mois de Juin a été pire que d'habitude et j'ai malheureusement négligé mes devoirs bloguesques ! Je vais tenter de vous glisser un petit mot pour les livres que j'ai lus mais pas chroniqués ici :
La prime de Janet EvanovitchLors de Books and the City, nos charmantes SGO (So Glamourous Organisatrices) m'avaient mise dans l'équipe "Ranger et Morelli", n'ayant jamais lu les aventures de ces deux "sexy men", j'ai voulu me lancer dans le premier opus de la série... Eh bien, je n'ai pas aimé !!! Oui, Fashion, je sais, tu me répliqueras que la scène torride dans la douche est irrésistible ! peut-être, mais... je n'ai pas du tout aimé le style d'écriture et ai moyennement ri aux passages censés être irrésistibles... Peut-être suivrai-je le conseil de la "pro" et essaierai-je de lire le second en anglais... On verra...
La solitude des nombres premiers de Paolo GiordanoLivre voyageur de
Keisha que je remercie pour le prêt...
L'histoire de Mattia et Alice, deux écorchés de la vie qui peinent à trouver leur place dans la société. Un premier roman que j'ai bien apprécié, je le trouve un peu dans la veine d'"ensemble, c'est tout", frais et agréable.
44 Scotland Street d'Alexander McCall SmithChroniques Ecossaises largement inspirées des célèbres "Chroniques de San Francisco"...
Je n'aime pas, à priori, les chroniques... Je me suis arrêtée au premier tome de celles de Maupin, idem pour celles du "Mont Royal".
J'ai bien aimé celles-ci, les personnages sont intéressants mais un peu trop caricaturaux à mon goût, les mésaventures vécues par un tableau faux-vrai sont rocambolesques et, même si je me suis attachée à un ou deux personnages, je n'ai pas suffisamment accroché pour lire la suite...
Le cercle des amateurs d'épluchures de patates de Schaffer et BarrowsMerci à K100dre pour le prêt, voilà un moment que j'avais envie de le lire...
Roman épistolaire qui fait penser à "84, Charing Cross Road, pas tant dans la structure du roman que dans le ton des lettres de l'héroïne principale. On y cotoie des habitants de Guernesey qui partagent avec nous leur vie lors de la seconde guerre mondiale. Un livre frais, plein de bons sentiments, qui vaut le détour.
La maison du sommeil de Jonathan CoeAshdown, ancien logement pour étudiants, est devenu une clinique spécialisée dans le traitement des troubles du sommeil. Etrangement, d'anciens étudiants qui ont vécu là-bas voient leurs destins se croiser à nouveau.
On navigue entre passé et présent (alternance des chapitres), même si j'ai trouvé l'histoire plaisante, le mélange des genres (critique d'une certaine société, expériences médicales répréhensibles, identité sexuelle...) en fait un tout assez brouillon qui ne m'a pas donné l'envie de lire un autre Coe.